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Le marché de la construction s’est particulièrement bien porté en 2017. Sur la même période, la part de primo-accédants a augmenté.
Le marché de la pierre se porte bien et en particulier celui de l’immobilier neuf. Les constructions vont bon train. Au cours de l’année passée, les mises en chantiers ont progressé de 17 % par rapport à 2016. Selon les chiffres du ministère de la Cohésion des territoires, le nombre de constructions s’est établi à 418 900 en 2017.
Dans le même temps, la part d’emprunteurs immobiliers a, elle aussi, augmenté. Si, en 2016, la part d’emprunteurs immobiliers était de 30,7 %, cette proportion a progressé de 10 points de base pour s’établir à 30,8 %. Certes, la progression est faible, mais elle montre que le dynamisme de l’immobilier n’a pas faibli.
Cela s’explique notamment par l’attractivité des taux d’intérêt des emprunts immobiliers. En effet, l’extraordinaire baisse des taux de 2016 a permis à des centaines de milliers de ménages de concrétiser un projet d’acquisition immobilière.
C’est notamment le cas pour les primo-accédants dont le nombre a considérablement augmenté. Ainsi, la part des accédants à la propriété immobilière atteint un niveau de 23,1 %. Ce haut niveau n’a plus été observé depuis les années 2000. Les taux bas ont donné l’opportunité à des ménages aux revenus moyens d’augmenter leur capacité d’emprunt. Car avec une mensualité et une durée d’emprunt similaire, un emprunteur de 2016 pouvait emprunter un capital 30 % supérieur par rapport à 2008.
Si l’attractivité des taux est toujours bien réelle, avec 1,53 % de taux moyen pour le dernier trimestre 2017, la situation du marché a changé. La hausse des prix des biens immobiliers est en train d’écarter les profils emprunteurs les plus modestes. Dans les zones de marché tendu, principalement les grandes agglomérations de l’Hexagone, seuls les profils « premium » ont encore l’occasion d’investir.