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Après des mois qui se prêtaient moins à la négociation, il semblerait qu’elle soit de nouveau de mise surtout pour les biens individuels. Pour les achats d’appartement, la marge est plus faible.
Les différentes études qui s’intéressent au marché immobilier français laissent apparaître un contraste de plus en plus prononcé entre les villes et les campagnes. Dans les premières, les prix ont tendance à se tendre pour les principales agglomérations, tandis qu’en territoire rural, les biens restent accessibles. Mais dans le même temps, une récente étude commandée par un spécialiste du secteur indique que les acheteurs n’hésitent plus à négocier leur bien
Ainsi, bien que les prix des biens soient en hausse, cette dernière connait actuellement un ralentissement. D’une part les Français commencent à moins se positionner et d’autre part l’été approche. Les projets vont donc soit s’accélérer pour que les démarches soient au moins conclus avant la rentrée ou bien, les acheteurs vont profiter des jours ensoleillés pour prendre leur temps.
Les acheteurs ont donc repris les choses en main et ils ont bien compris l’opportunité qui s’offre à eux de discuter des prix de vente. Au printemps dernier, la tendance n’était pourtant pas à cet état des lieux. Mais depuis le mois d’avril, il semble bien que la négociation soit de nouveau de mise.
Ainsi, les marges de négociations ont retrouvé des niveaux « normaux » avec une moyenne de 4,2 %.
De plus, il est plus facile de discuter du prix lorsque le bien est une maison. Cela n’est pas surprenant puisque les appartements se situent principalement dans les zones de marché tendues.
Enfin, les régions les plus peuplées sont celles où il est possible de réaliser les plus belles négociations.
Avec un marché dynamique, les vendeurs savent que les acheteurs ont le choix. De plus, avec des taux d’intérêt qui se maintiennent à des bas niveaux (1,46 % en moyenne en mai), les crédits immobiliers sont accessibles. Pour une catégorie d’acheteurs, cela leur permet de faire jouer la concurrence et de ne pas céder rapidement à un achat coup de cœur.
Tous les territoires tricolores n’ont donc pas le même niveau de négociation. Ainsi, il sera beaucoup plus facile de faire baisser le prix d’une maison en Normandie par rapport à l’Auvergne. Dans la première région, la marge de négociation pour une maison plafonne à 7,4 % tandis que dans la région des volcans, la négociation d’une habitation individuelle s’établit à seulement 2,6 %.