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Et si c’était le moment opportun pour devenir propriétaire ? Grâce à des taux d’intérêt historiquement bas, jamais il n’y a eu autant d’achats immobiliers en un an.
Les ventes sur le marché de l’immobilier ne s’essoufflent pas depuis le début de l’année 2019. L’Insee et les notaires ont récemment indiqué qu’il ne se serait vendu pas moins de 985 000 habitats anciens au mois de mars 2019 sur un an. Non loin du million, il s’agit ni plus ni moins d’un énième record de transactions battu après celui enregistré lors du quatrième trimestre de 2018 où 965 000 logements se sont écoulés sur tout le territoire.
Sans véritable surprise, cette euphorie tient son origine d’une période particulièrement propice pour les investissements dans la pierre. En effet, à l’exception du mois de novembre 2016, jamais le crédit n’a été si bon marché avec encore un taux d’intérêt d’emprunt moyen de 1,35% en avril d’après l’Observatoire Crédit Logement CSA. Un indicateur au plus bas qui contribue à motiver davantage les Français à acheter une maison ou un appartement tout en bénéficiant d’un coût du crédit extrêmement faible. Nul doute que les banques et que les simulations de crédit sur le web sont très sollicitées.
Pour rappel, un prêt immobilier est accordé par un établissement bancaire qui se rémunère grâce à des intérêts payés par l’emprunteur et calculés par le taux d’intérêt. Des taux bas vont alors favoriser la capacité d’emprunt des ménages qui peuvent injecter les économies réalisées, avec la réduction du coût du crédit, dans le prix d’achat de leur logement. Un critère d’autant plus motivant pour les acquéreurs et qui contribue à propulser le nombre de transactions et à stimuler le marché de l’ancien.
Aussi, le dynamisme des ventes s’accompagne d’une hausse des prix dans de nombreuses zones de l’Hexagone. Mais les professionnels s’entendent pour dire qu’elle reste contenue à 3% sur un an en mars même si certaines métropoles, et en particulier Paris, affichent des évolutions nettement plus marquées. La rareté des biens explique d’ailleurs que les prix dans la capitale sont en train de flamber avec une hausse moyenne de +6,4%.
L’insuffisance de l’offre par rapport au flux de demandes fait bondir les coûts d’acquisition à un tel niveau qu’aucun arrondissement ne propose dorénavant un prix inférieur à 8 000 euros le mètre carré. Et pour les arrondissements les plus huppés, le mètre carré s’envole même à plus de 13 800 euros. Les notaires estiment enfin qu’un effet « Brexit » augmente la demande en logements de luxe et tire les prix du marché vers le haut.